dimanche 31 août 2008

Pique-nique sans façon...

L'inévitable pique-nique du dimanche...

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1 - anulla
2 - chx
3 - Source
4 - photo Sa Marraine la fée ;-)

Je crois que je n’ai jamais utilisé de vrai panier pique-nique chic – d'ailleurs je n’en ai pas, mais plutôt un cabas, bien plus pratique dans la vie de tous les jours de quand on n’a pas la place pour ranger ce genre de truc et qu’on ne fait pas de pique-niques tous les jours.

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Et ceux qui me plaisent beaucoup ces derniers temps, sont ceux de Maron bouilli, et de La Marelle, dessinés par Melle Héloïse.
Je vais d’ailleurs m’empresser de faire de la pub à deux jolies boutiques : on peut trouver ces derniers chez Les Fleurs et chez Jolies choses.

N’oubliez pas le tire-bouchon, et le couteau pour le saucisson, ce sont toujours eux qui passent à l'as!

vendredi 29 août 2008

...et déjà l'envie de repartir.

Lointains horizons
Au-delà de la Durance, depuis le Lubéron…

Le ciel me manque déjà ; le ciel, l’horizon, le rythme des vacances…
Besoin de voir plus loin que mes quatre murs, que ma petite cour qui me masquent la vue, besoin de grands espaces, de liberté.
Besoin de lumière, de soleil. Je suis à l’étroit dans mon chez moi que j’adorais.

Saignon
Avignon

jeudi 28 août 2008

Retour à Paris...

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Monsieur Chat
via

Retour depuis peu, avec évidemment tous les "devoirs de rentrée" à faire, après quelques "devoirs de vacances" auxquels je me suis pliée avec plaisir, je vous en parlerai plus tard.
Je ne vous décris pas l’état de mes boites mails, vous connaissez ou vous imaginez bien, et tous les spams à trier, parce qu’on ne sait jamais, il y a toujours un petit message qui s’y est perdu sans avoir rien à y faire… et quand c’est un message de boulot, (le plus souvent) ça craint de l’effacer comme ça !

Changement de rythme, de vie, d’atmosphère, de ciel, de vue lointaine, d’odeurs, de climat…
Courage, ma fille, tu vas y arriver ! ( Oui, il faut que je m’encourage quand même un peu…) En plus tu es reposée, calme ( si, si !) presque bronzée ( si, si, si !!!) tu as de nouveaux clients, déjà des commandes, déjà plein de projets pour les trois à quatre mois à venir… ouf !

Et vous, ça va ?

mercredi 27 août 2008

Robes

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Edit du 30 août: la photo est du grand Tim Walker, exposée en ce moment ou récemment à Arles.

mardi 26 août 2008

Sirène transexuelle et autres bizzaries

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Il a fallu que je relise plusieurs fois pour réaliser que ce n’était pas des pubs pour le tourisme en Australie… si, si !

dimanche 24 août 2008

Pique-nique avec Audrey

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Impossible de retrouver les références de cette photo avec Audrey Hepburn...

Edit du 28 août: C'est donc une photo tirée du film Ariane, de 1957, avec bien entendu Gary Cooper, vous l'aurez reconnu. Un grand merci à Delphine (mpqç!) qui a joué les détectives avec brio! - et qui vient de fermer son blog...

vendredi 22 août 2008

mardi 19 août 2008

Summer times

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Une photo de John Rawling pour la couverture du n° de Vogue de Juillet 1947
et un "maillot sirène", de Lucien Lelong, en 1927, extrait de la collection présentée au palais Galliera à Paris au printemps dernier lors de l'exposition sur les années folles.

mardi 12 août 2008

Dans la malle aux jouets

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Jamais joué à ce jeu-là, je n'en connaissais même pas l'existence...
I didn't even know this game...

mercredi 6 août 2008

Extrait du Journal d’un été passé (2)


Loin de notre regard, le château s’animait.
Ma sœur y avait caché un dragon tout au fond, celui que j’avais dompté autrefois, narguant ainsi la sorcière de la Belle au bois dormant. Par mesure de sécurité, je l’avais enchaîné à la paroi, mais il continuait à montrer les dents dès qu’un étranger approchait. C’était une bête féroce, qui restait sauvage malgré le soin et l’autorité que j’avais pu mettre pour l’apprivoiser.

Dragon de sable  - source

Je savais que le château, symbole de puissance, de majesté et d’audace attirait les convoitises. Je l’avais à regret quitté pour rentrer lorsque ma mère nous appela pour dîner.
L’heure de se coucher arriva. Je me retournais sur mon lit, le sommeil venant difficilement, contrairement à ce que m’affirma ma mère le lendemain : que nous nous avions dormi, ma soeur et moi « comme des loirs ». Ou sous-entendait-elle qu’elle nous avait entendu courir toute la nuit, comme le font les loirs ? Je ne l’ai jamais su.

Un message me parvint, alors que le clocher venait de sonner minuit. 4 hululements courts : c’était l’alarme la plus grave. Je me dressai d’un bond, réveillai ma sœur et sautai dans mon bermuda, tandis qu’elle enfilait sa robe en un rien de temps. Naturellement, je portais une épée courte au côté, et elle un arc et un carquois. La fenêtre de notre chambre donnant sur le jardin, nous enjambâmes l’appui et grimpèrent sur le cheval que le messager avait emmené avec lui. La lune éclairait le trajet comme en plein jour, et c’était tant mieux, car les réverbères du village s’étaient curieusement éteints quelques instants auparavant.
La route fut avalée en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, et déjà, nous apercevions au loin, la silhouette du château.
Une armée ennemie était en train de l’encercler, et un mage puissant et démoniaque en avait pris la direction.

Château de sable - source

Il fallait faire vite, rejoindre le pont-levis, rassembler les troupe et sauver ce qui pouvait l’être. La nuit fut longue, la bataille fit rage. Nos hommes se battirent comme des braves, mais l’ennemi était plus nombreux. Nous n’étions pas aussi entraînés que les Spartiates. Si seulement le sorcier bleu avait pu nous prêter main forte contre le mage démoniaque, la partie aurait été gagnée d’avance, mais il était parti en vacances, et totalement injoignable, même par les chouettes messagères.

Nous perdions du terrain. Ma sœur prit alors la décision de jouer notre carte maîtresse.
Dragon furieux - source
Elle libéra le dragon.

Il se fit un silence soudain alors que la bête franchissait lentement la porte du château. Le temps se figea, et même nos hommes les plus valeureux sentirent des sueurs froides leur couler dans le dos. La chair de poule se répandit comme le choléra, faisant flancher l'ennemi.
Et comme le silence avant la tempête, tous surent immédiatement que le vie ne tenait plus qu’à un cheveu.
Ou qu’à la volonté de ce fantastique animal. Il fit des ravages, défendant le château très abîmé contre tous, mais le mage démoniaque n’était pas encore à sa portée.
La nuit se terminait, nous devions rentrer avant le lever de nos parents pour ne pas les affoler… On distinguait la lueur du jour qui pointait à l’est, annonciatrice de l’aube. Dans la lumière blafarde de cette fin de nuit, le dragon et le mage se battirent en duel, la bataille fut si impressionnante qu’on en parlera très longtemps et dans le monde entier. Ils s’entre-tuèrent, le dragon se sacrifiant pour nous sauver de ce démoniaque ennemi.
Nous les laissèrent sur place pour aller nous reposer un peu, projetant de revenir quelques heures plus tard.
Ma mère ne su jamais ce qui s’était passé, lorsque nous revînmes dans la matinée, les ruines du château étaient bien visibles, tout avait été détruit pendant la nuit, mais nous avions sauvé le monde d’un terrible ennemi.

Ruines du château - Source:  Chemin des jours

lundi 4 août 2008

Extrait du Journal d’un été passé (1)

Seawind

 Ma soeur pataugeait dans l’eau, éclaboussait ma mère à côté d’elle en riant. Les pieds nus dans le sable mouillé, elle courrait vers la vague, puis s’enfuyait avec le reflux.

Je l’appelai. Ma pelle à la main, je tassais le sable dans un sceau.
Elle arriva les mains pleines de coquillages, ces petits coquillages longs, ovales, bivalves qui forment des ailes de papillons lorsqu’on les ouvre à plat.
Plus tard, elle décorerait les tours du fragile château, alors que j’avais en grande partie terminé sa construction. Je décidai d’y ajouter un pont-levis, des douves et des créneaux.
La plus remarquable partie du bâtiment en était indéniablement le donjon, solide, trapu, mais avec cette grâce puissante, rassurante.
Les habitants seraient bien protégées.

Photo: L'armoire de Léo et Lisa - Mrs Darcy

L’après-midi touchait à sa fin, le soleil baissait doucement et ma mère nous appelait, rangeait les affaires de plage. Elle tenait ma sœur par la main et nous rentrions vers la maison.

Je me retournai.
Le château brillait dans la lumière du soleil couchant, indestructible, inébranlable…

Bamburgh castle evening

à suivre ...

samedi 2 août 2008

Vacances

Carte postale d'un été où je m'éloigne enfin.
La publication suit son cours, sans moi, à bientôt!



vendredi 1 août 2008

Eblouissante prise sur le vif

IMGP7143
Et si vous voulez découvrir ce que la photographe regardait dans son appareil photo, cliquez sur la photo!

And if you want to look at the pictures in the camera, just click on the photo!
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