Un portrait d'Ali Akbar, vendeur de journaux à St Germain des près |
«Ça y est : « on a retrouvé le père de Zohra », Ça y est :« Fuite des cerveaux : Johnny Hallyday quitte la France », Ça y est : « Encore une catastrophe : la femme de Hollande est revenue », « Ça y est : Montebourg démissionne » etc...
Depuis trente-six ans, Ali Akbar annonce à St Germain des près à Paris, les mauvaises nouvelles, les bonnes… mais aussi celles qui jaillissent de son esprit facétieux.
(sources : Le Parisien et Dédé, mais j'aurais pu tout aussi bien me souvenir un peu mieux de sa voix et de ses mots avant d'écrire ça!)
Depuis le temps que je voulais prendre cette photo.
Non pas aller indécemment mettre mon appareil photo sous le nez de ce personnage, mais bien garder sur le carnet de notes qu'est ce blog, cette image colorée.
"Ali Akbar colore le monde" voilà ce qu'indique la légende de cette peinture murale. Et c'est bien de cela qu'il s'agit : ce vendeur de journaux germanopratin colore les nouvelles d'un regard malicieux, ironique, et redonne le sourire autour de lui dès qu'on l'entend.
Vendeur à la criée. Oui, mais des cris facétieux et toujours
Vous pouvez l'entendre ici entre autres.
Il a publié deux livres :
- Je fais rire le monde, mais le monde me fait pleurer
- La fabuleuse histoire d'un vendeur de journaux qui a conquis le monde
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