Daphné

C’est une histoire qui a commencé il y a peu de temps, même si mon impatience transformait les heures en journées, les jours en semaines. Un jour ou un soir, peut-être, une pause blog au hasard, et je m’introduis chez Lunemalo, dans son livre d’images, qui présente Mademoiselle Léonie, une poupée de chiffon de Mademoiselle C.

Je suis sous le charme, complètement fascinée par cette poupée.
Pourtant, je n’ai jamais été sensibles aux poupées en général : enfant, les barbies me laissaient indifférente, les légo, les playmobils et ma collection – entre-temps disparue - de Schtroumpfs m’intéressaient nettement plus ! Sans parler de cette vogue récente pour les poupées -de collection- japonaises en plastique Blythes - n’en déplaise à Isabelle ou à Gwen qui passent par ici parfois– qui m’est totalement étrangère.
En revanche, cette poupée-là, tout comme celles de Christine Alvaro …
J’ai toujours l’excuse de pouvoir dire que je l’offrirai – peut-être – à ma filleule !

Quelques jours plus tard, Lunemalo me met en contact avec cette mystérieuse mademoiselle C aux doigts de fée … et de lettres en messages, de courriers en emails, une proche cousine de Mademoiselle Léonie est arrivée chez moi.
Elle m’a attendu patiemment, quelques jours avant que je ne trouve le temps d’aller la chercher au bureau de poste où elle patientait sagement.






D comme Daphné.
Une ravissante et longue liane, qui j’espère, ne se transformera pas en laurier, aussi beau soit-il.
Et elle portait avec elle un petit panier où j’ai eu la surprise de découvrir une merveille de minuscule service à thé et sa tarte aux framboises, crochetés, au milieu des feuilles d’automne, le tout serré dans une nappe de pique-nique.

Je n'ai pas photographié toute sa garde-robe, mais je vous invite à découvrir celle de sa cousine dans l'album qu'en a fait Lunemalo.